QUESTIONS DE FEMMES – Mirella LEPETIT

Ah ! Le grand amour … Qui n’en a pas rêvé ? Manque de chance, il n’est pas toujours au rendez-vous. Heureusement, Douce ALBERTINI donne un coup de pouce à notre destin amoureux, sans pour autant entrer dans les méandres des classiques agences matrimoniales.

Douce est marieuse. Une marieuse moderne, qui a découvert sa vocation à douze ans à peine « Intuitivement, je savais qui allait bien s’entendre avec qui » A peine plus âgée, affûte sa passion des relations humaines en se plongeant dans la lecture d’ouvrages de psychanalyse. Une passion qui l’amène tout droit à la porte des agences matrimoniales où elle travaille peu de temps …

Consciente des besoins mais choquée par ce qu’elle voit et entend, elle décide rapidement, de créer sa propre structure, située aux antipodes de ces fameuses agences : « elle lorgne d’abord sur vos sous avant de s’intéresser à votre cœur » ! Et pas question pour Douce d’exploiter la détresse amoureuse ! Douce n’a qu’un objectif : vous faire rencontrer l’âme sœur en fondant sa démarche sur l’affectif.

Première obligation : prendre le temps de bien connaître ses « complices » (elle se refuse à les appeler ses clients). Pas question par exemple, d’en prendre plus de 20 par an. Un nombre très restreint, qui lui permet de capter au quart de tour leur personnalité, de prendre la température de leur passé, de leur présent et de qu’ils recherchent. Aventurières en goguette, ou maris infidèles, passez votre chemin, Douce n’acceptent que des personnes officiellement libres. Ensuite, plutôt du genre bavarde, notre Cupidon en jupons, s’entretient pendant de longues heures avec les candidats au bonheur. A la suite de cette analyse minutieuse, elle s’offre elle-même la possibilité de refuser un client. Ou, si le besoin s’en fait sentir, de le relooker ou de l’envoyer chez le dentiste : « Je ne pars en « complicité » qu’avec des personnes avec lesquelles j’ai de réelles affinités. Je veux des êtres sincères et très motivés, qui y croient. C’est une forme d’élitisme et cela élimine beaucoup de gens. Ceux qui me disent « Je vous fais un chèque et on n’en parle plus », je les refuse : je ne suis pas une prestataire de services ! »

 

Divorcée et mère de deux enfants, Micha et Ophélie, cette quinquagénaire dynamique, attrape les cœurs, comme d’autres chassent les papillons. Lorsqu’elle a épuisé les méthodes classiques, elle n’hésite pas à descendre dans la rue : « Je me promène dans les cocktails, les musées  ou les jardins. Si je vois une personne qui correspond à ce que je cherche pour l’un et l’autre de mes complices, je l’aborde. En général, lorsque je demande à quelqu’un s’il est amoureux, il éclate de rire et me répond franchement. S’il ne l’est pas, il est curieux et vient boire un verre. Je ne me suis jamais fait éconduire ».

 

 

Ses complices femmes ? Elles sont belles, intelligentes et souvent dotées d’une belle situation. Alors, pourquoi ne se débrouillent-elles pas seules, direz-vous ? « Elles n’ont pas le temps de rencontrer des gens. Ou bien, elles ne veulent pas aller en boite parce que les rencontres y sont éphémères. Je suis là pour les aider ! Et pour donner un petit coup de pouce au destin » ! …

Lire la presse

Lire la presse
email

Suivez-moi sur

Skype
email